- 1 Juin 2022 - Biosphère, Espace pour la vie
La science est partout
C’est vrai, la science est partout autour de nous et dans notre quotidien, c’est la chimie des desserts, le levain dans le pain, la fermentation des fruits… C'est aussi retrouver les mathématiques et le nombre de Fibonacci dans les pétales de fleurs ou encore sur la coquille d’un escargot. Bref la science nous entoure, alors comment y intéresser nos jeunes?
Utiliser leur curiosité innée, les sensibiliser à l’impact de leurs activités quotidiennes ou encore les impliquer dans les causes qui leur tiennent à cœur, voilà quelques idées!
Affûter sa curiosité
Les scientifiques sont de fins observateurs et examinent la nature autour d’eux pour s’en inspirer. On appelle cela le biomimétisme, ou comment la nature inspire de nouvelles solutions. Science et environnement vont donc de pair!
Saviez-vous qu’après avoir étudié la peau des requins, les scientifiques ont développé une combinaison de natation qui réduisait la résistance à l’eau permettant ainsi aux nageurs d’être plus rapides?
Saviez-vous que les avions planeurs s’inspirent de la morphologie des albatros pour garantir un maximum d’aérodynamisme?
Les jeunes sont déjà exposés à la science, il ne reste plus qu’à le leur faire réaliser! À la Biosphère, le tout nouvel Écolab fera ressortir les scientifiques en herbe! Autant les adultes que les enfants peuvent s’y retrouver et s'initier à la méthode scientifique. Commençons par se poser de simples questions comme « pourquoi » ou « comment », la réponse peut parfois être étonnante!
Évaluer son impact
Ce n’est pas tout de se poser des questions sur l'environnement qui nous entoure et nous inspire, il est également intéressant de comprendre l’impact de notre quotidien sur notre planète. Avez-vous déjà tenté de calculer votre empreinte écologique avec vos jeunes? Combien de planètes seraient nécessaires si tous les humains vivaient comme vous? Cet exercice permet de réaliser, par exemple, que consommer plus de protéines végétales ou se déplacer davantage à vélo sont des actions concrètes qui ont un impact significatif sur la santé de notre planète.
Innover et s’impliquer
Assistez à un défilé de mode éthique avec vos ados, encouragez-les à s’impliquer dans un Festival Avenir durable ou mettez votre famille au défi de trouver des substituts aux objets de plastique jetables à la maison. Innovons pour le bien de la nature!
Une autre façon de les initier à la science tout en suscitant la curiosité est la science participative. Elle permet aux intéressé.e.s de participer à des projets de recherche sans avoir de formation scientifique. De plus, contribuer au bien-être de la planète et au développement des connaissances scientifiques procure un sentiment d’être dans l’action! Un autre bel exemple est celui de Mission monarque. Vérifiez avec vos enfants si des chenilles de monarques se trouvent sur les feuilles de votre plant d'asclépiades. C’est utile pour la science et amusant à la fois.
Une sortie en famille dans un musée de science ou d’Espace pour la vie peut déclencher des passions chez les jeunes qui perdureront toute leur vie. Les camps de jour sont également une excellente porte d’entrée pour s’initier à la science et à la nature.
Passez à l’action!
Vous avez du leadership et vous voulez agir pour la planète? Faites découvrir à tous les membres de votre famille à quel point la science est intéressante et apporte des solutions aux problèmes environnementaux. Activez votre créativité et impliquez-vous auprès d’organismes en environnement. En transmettant le plaisir de la science aux plus jeunes générations, vous ferez la différence!
Une riche programmation d’activités éducatives proposées par nos équipes d’animation est offerte aux jeunes et enseignants de tous les niveaux :
Bonjour!
J'ai gagné un prix de présence (le livre << Les insectes du Québec et autres arthropodes terrestres >>) lors de l'AGA de Science pour tous (situé dans les installations du Stade olympique) et qui connaîtrait, bien sûr, Espace pour la vie. Je tenais seulement à vous dire que je pourrais éventuellement donner ce livre concernant les insectes soit au Jardin botanique ou à l'Insectarium, n'étant pas plus particulièrement entomologiste, mais étant inévitablement curieux de nature, comme sans doute M. et Mme Tout-le-Monde (ayant le passeport pour les cinq musées).
Pour le reste, félicitations, car on pourrait mentionner, comme en parler à quelques reprises, de la notion de curiosité. Cependant, mis à part la métaphore << La terre est bleue comme une orange >> selon Paul Éluard, mentionnée par une certaine Bianca Joubert dans le dépliant Une planète riche en diversité offert à l'entrée des serres du Jardin botanique, pourrait-on vraiment penser que la curiosité serait libre ? Si, par exemple, notre curiosité aurait été << piquée >> par... pourrions-nous assurément nous demander si nous serions, du moins, complètement libres (une autre question)?
Je poserais cette question (Bianca nous invitant à en poser à vos experts), car j'aurais pu inscrire comme commentaire dans la plateforme YouTube, à quelques reprises, que la liberté (le hasard) ça n'existerait pas réellement, certains auteurs ayant pu constater la même chose. Il serait à remarquer aussi que les questionnements ne seraient jamais hasardeuses ou inutiles, petits, grands ou scientifiques pouvant encore se poser les mêmes tout en ayant eu l'impression d'y répondre définitivement ou non... Dire qu'un certain Einstein se serait posé la question à savoir à quoi pourrait ressembler la réalité si l'on serait perché sur un faisceau de lumière - quelque chose du genre -, et que ç'aurait pu faire de lui le plus grand scientifique (génie) et humaniste de tous les temps, ce serait sans doute un pensez-y-bien.
Pour enfin citer quelques exemples, Bianca aurait mentionné la fameuse question - que pourraient encore se poser certains adultes aujourd'hui - à savoir pourquoi le ciel serait bleu. Mais nous saurions que ce serait par rapport au fait qu'il ferait noir la nuit, l'espace intersidéral plus grand étant plus souvent qu'autrement noir avec toutes ses étoiles séparées, le Soleil pouvant éclairer la Lune, etc. Pour pourquoi les lucioles s'illumineraient la nuit, là, ça pourrait nous paraître un peu plus évident, les insectes n'utilisant pas la bioluminescence plus fréquemment qu'autrement, pour ou non la reproduction, ne servant pas d'ampoules électriques jusqu'aux dernières nouvelles non plus pour... risquant de se faire dévorer par quelque prédateur, etc. (ce qui nous dérangerait en piquant notre curiosité dans un monde complexe, encore une fois [un accident étant toujours si vite arrivé, dirait l'expression sociologique connue, par cette piqûre]).
Merci de m'avoir lu et bonne continuation à Espace pour la vie.
Jocelyn Beaudry
Merci pour votre commentaire.
Bonjour!
J'ai gagné un prix de présence (le livre << Les insectes du Québec et autres arthropodes terrestres >>) lors de l'AGA de Science pour tous (situé dans les installations du Stade olympique) et qui connaîtrait, bien sûr, Espace pour la vie. Je tenais seulement à vous dire que je pourrais éventuellement donner ce livre concernant les insectes soit au Jardin botanique ou à l'Insectarium, n'étant pas plus particulièrement entomologiste, mais étant inévitablement curieux de nature, comme sans doute M. et Mme Tout-le-Monde (ayant le passeport pour les cinq musées).
Pour le reste, félicitations, car on pourrait mentionner, comme en parler à quelques reprises, de la notion de curiosité. Cependant, mis à part la métaphore << La terre est bleue comme une orange >> selon Paul Éluard, mentionnée par une certaine Bianca Joubert dans le dépliant Une planète riche en diversité offert à l'entrée des serres du Jardin botanique, pourrait-on vraiment penser que la curiosité serait libre ? Si, par exemple, notre curiosité aurait été << piquée >> par... pourrions-nous assurément nous demander si nous serions, du moins, complètement libres (une autre question)?
Je poserais cette question (Bianca nous invitant à en poser à vos experts), car j'aurais pu inscrire comme commentaire dans la plateforme YouTube, à quelques reprises, que la liberté (le hasard) ça n'existerait pas réellement, certains auteurs ayant pu constater la même chose. Il serait à remarquer aussi que les questionnements ne seraient jamais hasardeux ou inutiles, petits, grands ou scientifiques pouvant encore se poser les mêmes tout en ayant eu l'impression d'y répondre définitivement ou non... Dire qu'un certain Einstein se serait posé la question à savoir à quoi pourrait ressembler la réalité si l'on serait perché sur un faisceau de lumière - quelque chose du genre -, et que ç'aurait pu faire de lui le plus grand scientifique (génie) et humaniste de tous les temps, ce serait sans doute un pensez-y-bien.
Pour enfin citer quelques exemples, Bianca aurait mentionné la fameuse question - que pourraient encore se poser certains adultes aujourd'hui - à savoir pourquoi le ciel serait bleu. Mais nous saurions que ce serait par rapport au fait qu'il ferait noir la nuit, l'espace intersidéral plus grand étant plus souvent qu'autrement noir avec toutes ses étoiles séparées, le Soleil pouvant éclairer la Lune, etc. Pour pourquoi les lucioles s'illumineraient la nuit, là, ça pourrait nous paraître un peu plus évident, les insectes n'utilisant pas la bioluminescence plus fréquemment qu'autrement, pour ou non la reproduction, ne servant pas d'ampoules électriques jusqu'aux dernières nouvelles non plus pour... risquant de se faire dévorer par quelque prédateur, etc. (ce qui nous dérangerait en piquant notre curiosité dans un monde complexe, encore une fois [un accident étant toujours si vite arrivé, dirait l'expression sociologique connue, par cette piqûre]).
Merci de m'avoir lu et bonne continuation à Espace pour la vie.
Jocelyn Beaudry