Ses prédateurs sont des mammifères marins, des oiseaux de mer ainsi que plusieurs espèces de poissons. Chez les mammifères, il y a évidemment les humains, les phoques (et otaries) et les baleines (comme le marsouin, l’épaulard et les baleines à fanons). Chez les oiseaux marins, il y a, entre autres, le fou de Bassan, le macareux moine, le petit pingouin, la sterne pierregarin et la sterne arctique. Chez les poissons, la morue, le saumon, le maquereau, le thon, le goberge, l’aiglefin, l’espadon, le sébaste, le bar rayé, les raies, les requins et les poissons plats comptent parmi ses prédateurs.
On pêche le hareng pour la consommation et comme appât. Les poissons capturés sont exportés, soit frais ou après avoir été fumées, congelées, marinées ou saumurées. Ils sont aussi mis en conserve sous le nom de « sardines ». Les poissons qu’on appelle souvent à tort « sardines » sont en fait de petits harengs de l’Atlantique. Les véritables sardines vivent sur les côtes européennes et ont d’abord été pêchées par les Grecs dans les eaux méditerranéennes entourant la Sardaigne, d’où leur nom. On pêche aussi le hareng de l’Atlantique pour ses œufs.
Les produits de la pêche canadienne du hareng sont essentiellement destinés aux marchés du Japon, des États-Unis et de la République dominicaine. Par contre, la vente de ses œufs se limite au Japon, où ils sont très appréciés.