Gheylen Daghfous est conseiller scientifique et conservateur responsable des reptiles, amphibiens, poissons et invertébrés au Biodôme. Il intervient dans la gestion de ces populations animales et mène différents projets de recherche et de conservation de la faune.
- Conseiller scientifique
- Conservateur de l’ichtyofaune (poissons), de l’herpétofaune (amphibiens, reptiles) et des invertébrés
Affiliations :
- Université de Montréal
- Association des biologistes du Québec (ABQ)
- Association of Zoos & Aquariums (AZA)
- Canadian Accredited Zoos and Aquariums (CAZA)
- Canadian Herpetological Society (CHS)
- Canadian Society of Zoologists (CSZ)
Pages web :
Domaine de recherche et d'expertise
- Ichtyologie et herpétologie
- Neuroéthologie et comportement animal
- Biologie des systèmes sensoriels
- Biologie de la conservation
Formation
Post-doctorat en neurosciences, 2011-2016
Université du Québec à Montréal et Université de Montréal
Doctorat en biologie et physiologie des organismes, 2010
Muséum national d’histoire naturelle, Paris
Maîtrise en sciences de l’univers, environnement, écologie, 2007
Université Pierre et Marie Curie, Paris
Baccalauréat en biologie, 2005
Université Paris Sud, Orsay, France
Contribuer à la conservation des espèces animales
Gheylen Daghfous est biologiste et physiologiste spécialisé en herpétologie et ichtyologie. Il a rejoint l'équipe du Biodôme en 2019 en tant que conservateur responsable des populations animales. Depuis 2023, il occupe le poste de conseiller scientifique avec un double mandat, soit la gestion des populations de reptiles, amphibiens, poissons et invertébrés du Biodôme ainsi que la recherche en conservation.
L’objectif de ses recherches est d’améliorer nos connaissances sur la biologie (comportement, morphologie, génétique, écologie, etc.) des espèces menacées, comme la tortue des bois ou la rainette-faux grillon, et ainsi de pouvoir mieux les protéger.
Ses recherches incluent également l'étude de la biologie d'espèces exotiques envahissantes, telles que la lamproie marine, originaire de l’océan Atlantique, mais invasive dans le système des Grands Lacs. Cette recherche a pour objectif de limiter l’impact des lamproies marines sur les écosystèmes et les espèces indigènes.