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Michel Labrecque

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Michel Labrecque
Crédit photo : IRBV / Amélie Philibert
Michel Labrecque
  • Michel Labrecque
  • Excursion à la réserve écologique du Boisé-des-Muir, Huntingdon. De gauche à droite: Michel Labrecque, le botaniste français Francis Hallé et Jacques Brisson de l’IRBV.
  • Michel Labrecque au milieu de saules sur un site de phytoremédiation à Varennes, Québec.
  • Michel Labrecque en discussion avec des étudiants au laboratoire. À l’extrême droite, le professeur Mohamed Hijri de l’IRBV.
  • Michel est chef de division recherche et développement scientifique à Espace pour la vie
  • Chercheur invité au Département de Sciences biologiques à l'Université de Montréal.
  • Lire ses articles sur notre blogue

Domaines des recherche et d'expertise

Écophysiologie d’espèces ligneuse

  • Productivité et rendement de plantations d’arbres à croissance rapide pour des fins de production de biomasse,
  • Nutrition et assimilation sous diverses conditions environnementales,
  • Biorestauration et phytoremédiation de sites contaminés.

À propos de mon travail

Chercheur à l’IRBV et chef de division de la recherche du Jardin botanique, je suis spécialisé dans le domaine des phytotechnologies. Ces nouvelles techniques utilisent des plantes vivantes pour dépolluer l’environnement. Même si leur implantation peut s’étaler sur plusieurs années, les phytotechnologies sont moins onéreuses que certains moyens de dépollution conventionnels. Elles s’inscrivent aussi dans une optique de développement durable.

Depuis les années 2000, j’ai beaucoup travaillé avec des plantes pour réaliser des écrans anti-bruit, décontaminer des eaux usées ou encore dépolluer des sols souillés. Mon travail implique aussi de nombreuses études sur le stress des plantes et son origine en milieu naturel : attaque bactérienne, manque d’eau ou présence de contaminants par exemple. Mes recherches sont appliquées et demandent une approche de terrain. Les expériences se déroulent souvent dans des champs ou des sites contaminés. Je travaille dans le concret! En général, je double les travaux réalisés en terrain par une approche en conditions plus maîtrisées, dans une serre ou avec des cultures en pot par exemple. Je peux ainsi comparer les réactions des plantes dans leur cadre véritable et en milieu contrôlé.

Pourquoi j’aime la recherche

Curieux de nature, la recherche me permet d’être créatif quand j’aborde une problématique et que je cherche une réponse. J’ai également l’impression d’être toujours en apprentissage. Travailler avec des étudiants m’oblige à me tenir à jour. Échanger avec des chercheurs qui m’apportent de nouvelles connaissances, m’amène à rester humble. La science ne se fait pas en solitaire! J’apprécie le travail en équipe et je crois beaucoup à la multidisciplinarité. Pour finir, je trouve très gratifiant de voir mes travaux être repris au sein de la société, et mon expertise être reconnue et soutenue par les décideurs.

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